Quand le droit danse avec le cinéma, la musique et l’amour

Depuis la nuit des temps, l’humanité a identifié quatre éléments : terre, air, feu, eau.

Puis, un jour, un cinéaste visionnaire nous a offert une révélation : le cinquième élément, c’est l’amour, ce souffle invisible, ce lien universel qui transcende tout.

Mais si l’on poussait la réflexion un peu plus loin ?

Voici mes sixième, septième et huitième éléments : l’amour du cinéma, de la musique, de la danse et du droit, une fusion qui tisse une toile secrète où toutes mes passions s’entrelacent.

Un destin. Un rêve

Dans six ans, la 84ᵉ édition du Festival de Cannes déploiera de nouveau ses étoiles et ses promesses et ce chiffre, 84, n’est pas anodin. Selon Sadhguru, il symbolise l’achèvement d’un cycle, la sagesse accumulée au fil d’une vie.

Installé au sein de la belle French Riviera, à Saint-Jean-Cap-Ferrat, je vois dans ce nombre un rendez-vous avec le destin.

Six ans pour intégrer cet univers, pour qu’un jour, un artiste, un cinéaste, lise ces mots et se dise : « Voilà un avocat avec qui j’aimerais créer. »

L’étincelle derrière l’écran

Comme l’enfant émerveillé devant « Cinéma Paradiso », chacun de nous porte en soi cette flamme, cette vibration qui fait du cinéma une partition d’émotions, une chorégraphie d’âmes.

À l’image des destins hors normes, retranscrits dans le film Va, vis et deviens de Radu Mihăileanu, le scénario et les images sont les ondes porteuses d’un amour essentiel, une énergie qui circule et touche.

Car, à la fin de l’envoi, on touche… une émotion qui ne se dit pas, mais se ressent, comme un souffle, un frisson, un battement partagé, celui qui fait vibrer le cœur du spectateur autant que celui du créateur.

L’avocat au service des créateurs

L’avocat, dans cette grande fresque, est bien plus qu’un simple juriste : il est le gardien des rêves, le protecteur des œuvres, l’architecte juridique qui bâtit un sanctuaire où la créativité peut s’épanouir en toute liberté.

Qu’il accompagne un peintre, un compositeur, un producteur ou un cinéaste, il forge un cadre où l’art peut exister sans peur, dans la rigueur mais aussi la passion.

Sans ce pilier discret, le cinéma perdrait son éclat, la musique sa magie. Le droit devient alors une symphonie, un équilibre subtil entre protection et liberté.

Et comme l’aurait glissé avec malice Raymond Devos : « Le droit, c’est un peu comme la musique, il faut savoir trouver la bonne note au bon moment et surtout ne jamais oublier d’y glisser un sourire. »

Le huitième élément, c'est la création

La création qui relie : le droit, le cinéma, la musique, la danse…tous unis par l’amour,  force silencieuse de toute création.

À vous, artistes, créateurs de mondes, je tends la main, avec humilité et passion, prêt à devenir ce compagnon de route à Saint-Jean-Cap-Ferrat où le droit danse déjà avec la mer et les rêves. Adrian Vangheli-Stavila

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