Il est des vies qui ressemblent à des routes droites comme un trait de géomètre… mais qui, vues de près, sont pleines de virages insoupçonnés.
Des chemins qui se divisent, se rejoignent, s’éloignent, se perdent dans la brume, pour réapparaître soudain au détour d’un hasard.
Balzac l’aurait décrit comme un roman aux chapitres inégaux : tantôt éclatants, tantôt sombres, toujours imprévisibles.
Et dans cette fresque, l’homme se retrouve, souvent seul, à une croisée des chemins, avec pour seule carte… ses angoisses.
Car la vie ne se résume pas à avancer. Elle serpente. Elle éprouve. Elle sème des embûches, tend des pièges, dresse des montagnes et creuse des ravins.
On y rencontre l’anxiété, le stress, les incertitudes, autant de compagnons de voyage que personne n’a invités mais qui s’installent confortablement dans le wagon.
Dans ces instants où chaque embranchement ressemble à une énigme, l’avocat n’est pas seulement un technicien du droit : il est un éclaireur qui voit plus loin, un phare qui perce la brume, une boussole qui indique le nord, même dans le chaos.
À la manière d’un guide de haute montagne, il connaît les crevasses invisibles, les raccourcis dissimulés, les refuges où reprendre souffle. Et il sait que les mots justes peuvent être des cordes solides.
Son rôle ? Écouter avant de parler, comprendre avant de conseiller, éclairer avant d’avancer.
Dans le tumulte des décisions, un avocat accompagne dans de nombreux domaines, tels que :
« Dans la vie, on est toujours à un carrefour… sauf qu’il n’y a jamais de panneau ou alors ils pointent tous dans la même direction : “Débrouillez-vous” !
Et c’est là qu’intervient l’avocat.
Pas pour marcher à votre place, il n’a pas vos jambes mais pour s’assurer que vous ne tourniez pas en rond avec un GPS qui dit :
Dans 300 mètres, faites demi-tour…
Mais Maître, je reviens d’où je viens !
Justement, c’est peut-être là que vous avez laissé tomber quelque chose d’important… ». Adrian Vanghel-Stavila